Histoire
Alexia Beleca
Denisa Hreceniuc
Ilinca Zmău
,,L'histoire, ce témoin des siècles, cette lumière de la vérité, cette vie de la mémoire, cette maîtresse de la vie'' Cicéron
Le maquillage dans l'Antiquité
Contrairement à la croyance populaire, le maquillage n’est pas une tendance récente. Des fouilles archéologiques ont permis de découvrir que les cosmétiques sont apparues il y a au moins 10 000 ans. Des palettes de maquillages et soins pour la peau ont en effet été retrouvés sur plusieurs sites historiques. La recherche de la beauté, le besoin d’embellir sa peau et d’en prendre soin est liée à l’histoire des civilisations. L’homme a ainsi inventé au fil des âges les formules, processus de fabrication et de conservation des produits de beauté et articles de maquillage.
https://myli-cosmetique.com/blogs/infos/histoire-de-la-cosmetique
https://cultea.fr/le-maquillage-au-fil-de-lhistoire-de-lantiquite-a-aujourdhui.html/amp
https://www.worldhistory.org/trans/fr/2-1441/cosmetiques-dans-lantiquite/
L'Égypte ancienne (4000 Av.JC.- 332 Av.JC)
Les peuples de l’Egypte ancienne sont considérés comme les premiers à avoir utilisé le maquillage avec comme objectif l’embellissement du visage. Ils l’utilisaient aussi pour ses vertus médicales. Les femmes portaient allors du khôl, fabriqué à base de suie ou de plomb, pour protéger leurs yeux. En effet, il était censé les défendre contre les rayons du soleil, les agressions du vent et du sable, ainsi que les préserver des conjonctivites. De plus, ce dernier permettait d’accentuer la forme en amande qui était très prisée.
Les Egyptiennes appliquaient également des fards sur leurs yeux. Ceux-ci contenaient des plantes médicinales destinées à soigner et éviter les maladies des yeux. Il semble que le vert profond était la teinte favorite, obtenue grâce à de la malachite broyée. Ensuite, on portait du fard rouge à base de coquelicot ou d’ocre sur les lèvres et les joues, tandis que le henné servait à colorer les ongles. Cette époque marque le début du blanchiment du visage, rituel de beauté qui ne disparaîtra qu’au XXe siècle. Pour ce faire, les Egyptiens utilisaient du plâtre, de la craie ou encore du carbonate de plomb, aussi appelé blanc de céruse, produit hautement toxique.
En plus des utilisations cosmétiques et médicales du maquillage, il y a aussi une troisième utilisation importante : celle religieuse. Un symbole très populaire était l’œil d’Horus, qui signifiait protection et préservation. Le motif est un mélange entre l'œil humaine et l'œil du faucon et il crée un lien entre le porteur et la divinité. Dans le mythe égyptien, Horus, le fils divin du dieu Osiris et la déesse Isis, a perdu un œil lors d’un combat. Les masses portaient son symbole afin d'honorer sa bravoure et d'obtenir sa protection contre la malchance.
https://sophierenier.com/2018/le-maquillage-a-travers-lhistoire-legypte-antique/
https://www.lajauneetlarouge.com/les-cosmetiques-au-temps-de-legypte-pharaonique/
La Chine ancienne (1000 Av.JC. - 256 Ap.JC)
Les femmes chinoises ont une longue histoire avec le maquillage, originaire des temps anciens. En Chine, il y a un vieux dicton qui dit que l’amour de la beauté est commun à tous les êtres humains. Les produits cosmétiques ont commencé à gagner en popularité pendant la dinasty de Zhou et ont continué à avoir une grande importance tout au long de l’histoire du pays.
Pendant les temps dynastiques, le maquillage était un symbole de statut important pour la femme noble. L’apparence de chaque femme était considérée comme une représentation de la richesse et du pouvoir de sa famille.
La pâleur était associée à un style de vie tranquille et donc la richesse. Les femmes cherchaient à enlever la couleur de leurs visages en utilisant une variété de cosmétiques. Malheureusement, de nombreuses poudres et crèmes de blanchiment de la peau de cette époque étaient toxiques, y compris de grandes concentrations de plomb.
D’autres cosmétiques de l’ère dynastique étaient beaucoup moins toxiques. Des pigments faits de malachite, de coquilles de coléoptères, de crustacés et de poudre d’os ont été utilisés pour ajouter une gamme de couleurs à la palette de maquillage de la noblesse moyenne. Diverses formes de charbon de bois, ou kohl, ont été utilisés pour mettre en évidence les yeux.
De petites décorations du front appelées hua dian ont été faites en utilisant toutes sortes de matériaux, des ailes de libellule à feuille d’or. Ceux-ci étaient populaires tout au long de la dynastie Tang, tout comme les décorations de joues faites avec des pigments rouges.
https://www.thefemword.world/the-word/a-brief-history-of-beauty-ancient-china
https://chine.in/guide/grain-beaute-maquillage-dans-ancienne_3179.html
https://www.globalizationpartners.com/2021/10/28/chinese-makeup-history/
La Grèce Antique (1000 Av. JC - 336 Ap. JC)
Le système social de la Grèce antique est Patriarcale. Autrement dit, l’homme y détient l’autorité en termes d’économie, de politique, de terre, tandis que la femme exempte de droit, s’occupe du foyer et ne prend pas part à la vie politique du pays.
En ce temps-là on murmure même que les femmes et les hommes ne sont pas de la même espèce, l’homme se rapprochant clairement des dieux alors que la femme faisant partie du règne animal.
Cette époque la religion et la philosophie associent le maquillage à la séduction et à l’érotisme. Se farder est une activité réservée aux travailleuses du sexe, aux courtisanes et aux femmes de petite vertu. Donc, le maquillage doit être aussi discret que possible. On ne veut surtout pas détruire l’harmonie que la nature a créé pour l’Homme. Le teint es pâle, les cils allongés et les soucils sont épaisses à l'extreme pour donner un aspect naturel. Les couleurs utilisés sont le noir et le bleu. Les joues sont colorées en rouges.
Ils ont inventé le mot "kosmetic", qui désigne des produits pour protéger les yeux, cheveux, la peau, produits qui sont affiliéd à la medécine. Les Grecs ont distribué en Europe des produits de beauté et le concepte de l'esthétique.
https://lessecretsbeautedaudrey.fr/les-habitudes-cosmetiques-en-grece-antique/
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La Rome antique (754 Av. JC.- 476 Ap. JC)
L'esthétique à Rome passe par une hygiène irréprochable. Outre les plaisirs qu'elle apporte, par les massages, les bains et les cosmétiques, c'est d'avantage le devoir des citoyens romains ; un devoir qui permet à l'Homme de s'éloigner de l'animalité en maîtrisant et entretenant son corps. A contrario, celui qui n'accepte pas les contraintes apportées au corps est, inculte, sale et répugnant. Soigner son apparence devient un devoir à l'égard de soi-même mais également envers autrui.
Comme dans le monde grec, certains écrivains romains - tous masculins - considéraient le maquillage comme l'affaire des prostituées ou des femmes mariées infidèles qui tentaient de séduire un amant, mais, de manière générale, les femmes romaines de toutes les classes continuèrent la tradition de se maquiller de leurs prédécesseurs grecs.
Naturellement, les Romains réalisèrent quelques développements en cosmétique, comme ils le firent dans d'autres domaines. Par exemple, les Romains considéraient le lait d'ânesse un parfait adoucissant pour la peau. Heureusement, les écrivains romains n'étaient pas trop dédaigneux et consacrèrent un grand nombre de leurs pages aux cosmétiques, en particulier ceux qui procuraient un avantage possible pour la santé. Ovide par exemple, détaille un sac de visage avec un ingrédient de nid d'oiseau qu'il considérait utile pour avoir bonne mine. Une autre concoction, celle qui visait à blanchir la peau utilisait des copeaux de plomb blancs qui avaient été dissous dans du vinaigre puis laissés sécher. Ils étaient ensuite mélangés avec de la craie en utilisant encore du vinaigre afin d'en faire una pâte pratique. Les anciens savaient bien que le plomb blanc était toxique et plutôt que l'ignorance, l'utilisation de ces matériaux illustre une approche souple aux ingrédients qui produisaient souvent des préparations a fins multiples.
Le Moyen-Âge (476 à 1453/1492)
L’Église était contre le maquillage considérant qu’il représentait la luxure et servait à dissimuler les horreurs du corps. Seule la couleur rouge était autorisée, sur les pommettes uniquement, pour représenter la pudeur juvénile.
La beauté était représentée par la jeune fille vierge, qui incarnait la pureté et l’innocence.
L'époque était au teint diaphane (naturel et blanc) . Les femmes de la haute se devaient d'aborder une peau claire, qui les distinguaient des visages hâlés des paysannes. Pour ce faire, certaines avaient recours à des soins censés blanchir la peau mitonnés avec de l'arsenic ou du mercure. Elles utilisaient également de la farine, du corail blanc et de la céruse pour se blanchir le teint. Les dents aussi doivent être blanches, au point qu’on en utilise de fausses en os de vache ou en ivoire.
Les cheveux roux et les peaux rousses représentaient la couleur du Diable pour l’Église. Afin de faire disparaître les tâches de rousseur, les femmes utilisaient des produits corrosifs composés d’œufs, de vinaigre, de moutardes, ou encore de gingembre et d’encens blanc.
En France à l’époque médiévale, les femmes portant des grains de beauté ont eu une fin tragique. L’Eglise considérait ces tâches comme étant le point d’entrée du diable dans le corps : elles étaient donc assimilées à la sorcellerie. Afin de ne pas finir au bûcher, les plus courageuses s’appliquaient sur le visage une pierre ou un fer chauffé pour faire disparaître ces grains de beauté.
La Renaissance (1453/1492 à 1610) – les temps modernes (1453 à 1789)
Le XVIème siècle
Le XVIème siècle marque l’arrivée des mouches, qui dissimulent taches brunes et boutons. Peu à peu, la mouche devient un accessoire esthétique indispensable, un symbole de la parrure, permettant de faire ressortir la blancheur et l’éclat du teint. C’était un instrument de séduction et était conservé dans une boîte en nacre spéciale et toujours à porté de main. Habituellement rondes, elles pouvaient être en forme d’étoile, de cœur, de croissant, de lune et parfois entourées de brillants et de grenats. Se posant partout, elles ont chacun un nom évoquant et provocateur selon l’endroit du visage, perméttant de connaître le tempérament de la femme.
Sur le front : la duchesse ou la majestueuse
Près de l’œil : la passionnée
Sur le nez : l’effrontée
Sur les pommettes : l’enjouée
Au milieu de la joue : la galante
Au coin de la bouche : la baiseuse
Sur les lèvres : la coquette
Sous la lèvre, voire le menton : la discrète
Sur la poitrine : la généreuse
Les fards blancs sont désormais largement utilisés sur le visages. Pour faire disparaître les rougeurs, on utilisait des masques de sang de poulet ou de pigeon à cause de l’obsession pour le teint blanc. Le blanc de céruse (ou blanc de plomb) était la base du maquillage. Mélangé à de la cire et des graisses, souveny associé à des produits minéraux ou métalliques comme le vif-argent, le sel de tarte, l’alun, le souffe ou le camphre, il est appliqué en couche épaisse. Ses vertus sont astringentes car il gomme les imperfections et les aspérités de la peau, mais aussi corrosif et fait disparaître les tâches, les rousseurs et les rides.
La bouche est rehaussée de rouge et les premiers bâtons à lèvres sont inventés. Si l’emploi de safran, curcuma et cochenille est courant, les élites préfèrent toutefois les teintes discrètes, pour ne pas trop s’éloigner de l’œuvre de Dieu.
Le XVIIème-XVIII siècle
C’est ensuite au XVIIème siècle que le maquillage fera parler d’elle, plus positivement. Au moment où la petite vérole sévit, la mouche sera utilisée pour cacher les ravages de cette infection. Elle sera également utilisée pour masquer les boutons, très fréquents à cette période.
Sous Louis XV, les joues sont largement fardées de rouge. Au-delà de l’aspect esthétique, la teinte choisie est alors révélatrice du statut social de celle qui la porte. Les courtisanes choisissent des rouges voyants, les bourgeoises des rouges plus clairs. On trouve une dizaine de tons de rouge différents ayant chacun un usage particulier : celui pour les spectacles, celui pour les promenades en ville, celui pour la nuit, celui pour l’hiver. Utilisé pour rehausser les pommettes, il est posé très haut près de la paupière pour aviver l’éclat des yeux. Celui-ci était nocif pour la vue et la peau car il contenait du minium ou du cinabre.
Les dents étant abîmées par l’abus de sucreries, les lèvres ne sont pas maquillées. Le rouge à joues a donc, aussi, pour fonction de détourner le regard de ces bouches édentées.
Originaire d’Autriche, Marie-Antoinette rapporte de son pays la tendance de la beauté naturelle. « La pâleur sans fards revient à la mode ». A tel point que Napoléon enjoint à Joséphine de mettre du rouge, lui affirmant qu’elle a « l’air d’un cadavre ».
On maquillait les yeux et les cils avec de l’antimoine noir, très toxique puisque cousin de l’arsenic. Les lèvres étaient couvertes avec du vermillon ou avec un mélange de teinture de cochenille. Le vermillon se portait aussi sur les ongles et les joues. À la cour du Roi Soleil, les nobles ajoutaient même du safran sur leurs pommettes.
Enfin, c’est à cette époque que le maquillage commença à être porté par toutes les classes sociales.
Les Geishas (XVIII siècle)
Les maiko et les geisha portent un fond de teint blanc traditionnel appelé oshiroi ; Autrefois, ce maquillage blanc – autrefois réalisé avec du plomb – aurait illuminé le visage d'une geisha lorsque le seul éclairage disponible était celui de la bougie . Oshiroi est porté avec un maquillage rouge et noir pour les yeux et les sourcils, des lèvres rouges et un fard à joues rose clair. Les maiko et les geishas se peignent les lèvres avec un rouge à lèvres connu sous le nom de beni , mais les apprenties geishas de première année ne peignent que la lèvre inférieure et portent moins de noir autour des yeux et des sourcils que les maiko seniors.. Les jeunes apprentis peuvent également peindre leurs sourcils légèrement plus courts ou plus ronds pour souligner une apparence jeune.
Les geishas portent plus de noir autour des yeux et des sourcils que les maiko , et les geishas plus âgées ont tendance à ne porter un maquillage blanc traditionnel que lors de représentations sur scène ou lors d'occasions spéciales. Les geishas plus âgées arrêtent généralement de porter des oshiroi à peu près au même moment où elles arrêtent de porter des hikizuri aux fêtes.
Pendant une courte période avant de devenir geisha, les maiko de certains districts de geisha colorent leurs dents en noir , généralement accompagnées du port de la coiffure sakkō et d'un kimono formel noir décoré. Le noircissement des dents était autrefois une pratique courante chez les femmes mariées au Japon et à la cour impériale dans les temps anciens, mais c'est maintenant une pratique extrêmement rare.
Après la révolution française-XIX siècle- période victorienne (1837 à 1901)
Après la Révolution française, le maquillage était mal vu et n’était réservé qu’aux prostituées et aux actrices.
Selon la Reine Victoria, le maquillage était vulgaire et indigne d’une dame. Alors,on se résu,ait à noircir sa ligne de cils et ses sourcils en utilisant du jus de baies de sureau noir et on donnait de l’éclat et de la couleur aux joues en les frottant avec un linge imprégné d’eau de vie ou on mettait du baumes à lèvres ou se les pinçait. Il est même arrivé que les femmes utilisaient un papier d’emballage coloré et humidifié pour créer une lueur.
À partir de 1830, l’idéal de beauté est d’avoir l’air mourant : « avoir bonne mine était trop bourgeois ». Sur le visage, on applique des fards jaunâtres, verdâtres et bleuâtres ; les veines sont dessinées au fard bleu ; l’œil se doit d’être cerné jusqu’à la pommette. Dans cette optique, les femmes souhaitent maigrir à tout prix – alors qu’au début du siècle on préférait les formes. Pour ce faire, elles boivent du vinaigre et ne mangent que du citron.
Le seul produit de maquillage victorien acceptable était la poudre pour le visage. En effet, on la trouvait sur la plupart des vanités des dames de la classe moyenne et de la classe supérieure. Elle était faite d’amidon parfumé et légèrement coloré (semblable au talc fin et au savon de lessive victorien). On utilisait également du lait en poudre de magnésie, de la poudre de riz, de la craie française et du talc vénitien.
La seconde moitié du XIXème siècle voit apparaître l’industrialisation des cosmétiques. Les emballages esthétiques attirent l’œil, la chimie de synthèse et la pétrochimie améliorent les formules. Pour autant, nombre de produits de maquillage sont encore extrêmement toxiques, voire mortels, le plomb, le sulfure d’arsenic et les sels de zinc étant encore utilisés comme ingrédients.
Néanmoins, la découverte en 1856 du premier colorant de synthèse changea à jamais la pratique. En effet, on utilisait avant cela des colorants naturels d’origine végétale ou animale, et le colorant de synthèse a permis une baisse conséquente des coûts de fabrication. Un avantage considérable pour l’industrie du maquillage, qui ne fit que grandir grâce à la publicité. La qualité des produits s’améliorant et l’enthousiasme suscité par la publicité naissante, l’industrie de masse des produits de beauté vît le jour : Boots, Five and Dime étaient nés.
https://medecine.club/guide-de-maquillage-victorien-et-histoire-de-la-beaute/
Au XXe siècle, le maquillage se développe et se fait beaucoup de bruit. On peut dire que le XXe siècle a été le moment le plus puissant dans le développement de l’industrie du maquillage.
Le XXième siècle - 1900-1919
Quand on parle du XXe siècle, on parle de l’ère édouardienne. Au début des années 1900, les femmes recherchaient un « regard pâle ».
Le jus de citron consommé ou appliqué comme tonique pour le visage était une méthode populaire pour obtenir ce teint féminin. Les hôtesses de la société cherchaient à conserver leur jeunesse. Pour répondre à cette demande ou peut-être pour l’encourager – salons de beauté exclusifs germé dans les grandes villes. Les femmes édouardiennes adoraient les soins du visage et passaient de nombreuses heures à masser et à appliquer des crèmes sur leur visage pour garder leur peau douce et souple. Les cosmétiques, au tournant du siècle, se composaient de petits pots de rouge pour les joues, les yeux et les lèvres avec des papiers buvards.Les femmes les plus audacieuses mélangeaient les colorants des préparations cosmétiques créées à leur pharmacie choisie. L’objectif du maquillage édouardien était de créer un effet de beauté juvénile sans que personne ne sache que vous portiez du maquillage.
Le fait d’être considéré comme « portant » du maquillage n’était réservé qu’aux femmes de la scène, dans les films ou au trio. La recherche de cosmétiques était assez difficile, on croyait que le port quotidien du maquillage est immoral et mal. Après la Première Guerre mondiale Le maquillage n’appartenait encore qu’au domaine des actrices de scène. On ne pouvait pas voir une femme porter autre chose que son visage naturel. Par conséquent, le seul produit de maquillage que les femmes portaient dans le sac était le rouge à lèvres, qui est venu dans une véritable de tailles. Le rouge à lèvres pouvait être appliqué sur les joues, le front et juste une tache sur les lèvres par opposition au « modelage des lèvres », le fond de teint était très « non bronzé » et une femme qui avait de la couleur était considérée comme étant de mauvaise classe.
L’impact qu’a eu Hollywood sur les femmes a été considérable. Les premiers volets de l’Europe de l’après-guerre ont commencé à utiliser plus de maquillage des yeux lors de la fête. Le phénomène du Ballet Russes à Londres en 1911 a également inspiré Helena Rubinstein et Elizabeth Arden à développer le maquillage des yeux. L’influence de ces deux femmes sur l’écran silencieux est notable.
En 1910-1919, des cosmétiques ont été produits, grâce à plusieurs noms tels que Max factor, Helena Rubinstein, Maurice Levy. Ils produisent des rouges à lèvres, du mascara et de la poudre.
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1920
Ces innovations cosmétiques des années 1910 ont fortement influencé le maquillage des années 1920. Des rouges à lèvres, des fards à paupières, du mascara et des pan-sticks de marques comme Maybelline et Max Factor étaient maintenant visibles sur les coiffeuses et les sacs à main à travers l’Amérique et l’Europe.Le maquillage a joué un grand rôle pour aider les femmes à se remettre des horreurs de la guerre. Maintenant, elles pouvaient affirmer leur nouveau sens du pouvoir féminin. —-- En commençant par cette démocratisation, les femmes ont choisi de dépenser leur argent en cosmétiques, en maquillage parce qu’elles avaient cette possibilité. Avec cette démocratisation, il n’était plus interdit, immoral d’acheter du maquillage – il était acceptable de porter du maquillage.
Le maquillage a lentement commencé à devenir populaire, et à être pour un usage quotidien, surtout la nuit, pas seulement pour la scène.Le rouge à lèvres, popularisé par Besame Cosmetics, était le produit cosmétique le plus usé. Aussi, les sourcils fins et courbés étaient indispensables dans la routine de maquillage d’une fille.L’emballage se composait d’une boîte de charbon de bois et d’une fine brosse qu’il fallait arroser avant de l’utiliser. Idem pour le mascara
Des vedettes hollywoodiennes comme Clara Bow ont fait la lèvre papillon – un rouge à lèvres auto-modelant développé par Helena Rubinstein – populaire et l’image de la femme des années 1920 avec ses lèvres papillon et ses yeux foncés regardant sous son chapeau cloche a défini le regard à ce jour. Façonner la bouche est devenu un passe-temps majeur pour les femmes. Traceurs de lèvres en métal vendus pour aider à atteindre la moue parfaite. Le look de maquillage des années 1920 était un éclat jeune pour contraster la peau pâle ivoire. Ceci a été réalisé en utilisant des crèmes, des papiers rouges et divers liquides de fondation.
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1930
Au début de la décennie, le maquillage féminin des années 1930 devenait beaucoup plus raffiné. Jusqu’à un certain point beaucoup plus influencé par Hollywood. Les sourcils étaient minces et les lèvres avaient perdu leur arc de cupidon, et remplissaient à nouveau la bouche.
Le maquillage complet des années 1930. Visage en forme de cœur. Crayon sourcils fins. Beaucoup de mascara gâteau. Lèvres rouges et beaucoup de rouge.
Ils ont utilisé la routine éprouvée de soins de la peau en 3 étapes. Nettoyez, tonifiez et hydratez.Ce processus était suivi religieusement par les femmes, et était la première étape du processus de maquillage à l’époque.Une chose que les femmes faisaient était d’appliquer n’importe quel fard à paupières avec seulement le bout du doigt. Puis avec un peu de vaseline.Le contour de visage préféré d’Hollywood dans les années 1930 était un visage en forme de cœur. Donc, même si vous aviez l’ovale parfait, vous utiliseriez votre rouge pour ajouter de la largeur. Le vieux truc était d’ajouter du rouge à l’oreille. Crème rouge était mieux pour l’oreille, ou rouge à lèvres qui correspondait à votre rouge visage normal.Les lèvres s’éloignèrent de l’arc cupidon des années 1920, avec un retour à une ligne plus naturelle.
Quant aux lèvres, il y avait deux astuces populaires : plier le rouge à lèvres sous la ligne des lèvres, puis utiliser deux nuances différentes : le plus lourd sur les lèvres supérieures, le plus léger sur le fond. Pour les lèvres minces, il suffit d’appliquer le contraire avec les nuances, ainsi que de déplacer la ligne des lèvres au-delà de votre ligne naturelle.
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1940
L’industrie du maquillage en 1940 était énorme.La femme de 1940 a un regard à elle-même. Confiance up-do coiffures, rouges à lèvres et les ongles et les sourcils arqués proéminents.
En raison des ressources de guerre limitées, l’emballage du maquillage était fait de carton et imitait souvent certains éléments liés à la guerre.La plupart des femmes utilisaient du rouge à lèvres pour le contour du visage et des yeux. Les femmes ont été encouragées à continuer d’acheter du rouge à lèvres et à envoyer des lettres sur le devant, recouvertes de « baisers de rouge à lèvres », pour renforcer la morale des soldats. »
L’objectif final de toute jeune femme des années 1940 était les lèvres rouges proéminentes. Le remplacement des contours minces et discrets de la lèvre des années 1930 a été une bouche profonde et pulpeuse.
Les guides de beauté des années 1940 ont encouragé les femmes à utiliser un crayon pour dessiner un contour « extérieur » à leur ligne naturelle de lèvre afin d’agrandir leur bouche. Comme la plupart des rouges à lèvres étaient mats, la vaseline était utilisée pour ajouter un peu de lustre et de brillance. Le sourcil était maintenant simplement bien entretenu. .Fond de teint – une teinte plus foncée que votre teint naturel.
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1950
L’âge d’or du maquillage était dans les années 1950. Pour la première fois, les mannequins inconnus ont commencé à rivaliser avec les grands noms hollywoodiens en devenant le « visage » des marques de maquillage.En Grande-Bretagne, Gala of London a commercialisé un véritable sens de la Haute Couture dans sa gamme de maquillage. Cependant, lorsque vous évoquez le maquillage des années 1950, il est difficile de ne pas voir les visages de ces icônes de beauté glamour de l’après-guerre – Elizabeth Taylor, Natalie Wood, Marilyn Monroe, Grace Kelly, Audrey Hepburn, Doris Day, Ava Gardner, la liste est longue.
Les années 1950 ont été une décennie glamour. Les crèmes de fond de teint et les ombres étaient les produits les plus utilisés. C’était l’ère du maquillage « effet masque ». Une application onctueuse épaisse de fond de teint et poudres couleur chair à fixer. Sourcils encore un look naturel mais plus effilé et féminin. Les rouges étaient moins accentués que dans les années 1940. S’il y avait une couleur pour définir les années 1950, elle devait être rose.
Les filles faisaient un eye-liner pour chat ou un bout ailé pour les yeux, qui était souvent préfiguré par la femme à un regard de fard à paupières lourd . Un maquillage beaucoup plus lourd pour le visage était en ordre avec des fonds de teint liquides et de la poudre libre apparaissant à nouveau sur les coiffeuses. Le look du fard à paupières de cette décennie a été beaucoup plus minimal que dans les décennies précédentes, les fards à paupières contenant désormais des reflets et une énorme palette de couleurs.
Revlon a produit des « palettes d’ombres à paupières » avec deux ou trois nuances pour créer un look spécifique. Une ligne des yeux douce mais définie et des sourcils une teinte légèrement plus foncée que le naturel.
Le look maquillage classique des années 1950 était composé de rouge à lèvres, avec des yeux visiblement maquillés mais élégants. Il était essentiel de souligner les yeux tout en conservant un glamour naturel. Eyeliner et mascara ont créé la définition des yeux.
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1960
Au début des années 1960, le maquillage était fait d’yeux élégants, de teintes rose pâle et de poudre. Au milieu des années 1960, cela a évolué vers un style féminin plus simple, typique des modèles britanniques comme Twiggy et Jean Shrimpton.Le look déterminant des années 60 doit être dans le maquillage des yeux. Il se composait de : un fard à paupières pâle ou coloré sur toute la paupière ; le pli alvéolaire était délimité par un crayon foncé, légèrement effilé vers le haut ; un eye-liner pour les yeux de chat, mince ou épais ; beaucoup de mascara.
Au milieu des années 60, l’accent est revenu aux yeux dans le maquillage. En particulier les faux cils, ou mascara plus largement appliqué aidant à définir le style de maquillage des années 1960.
Les ombres à paupières sont devenues pâles le jour. Le soir, les teintes primaires luxuriantes comme le bleu et le vert étaient à la mode. Fond de teint compacte les fonds de teint liquides et crèmes vendus
1970
La libération des femmes et le féminisme étaient de plus en plus au pouvoir. Par conséquent, il a eu un impact sur la publicité et l’industrie des cosmétiques. Les féministes les plus radicales étaient pour l’abandon du maquillage car elles sentaient qu’il objectivait les femmes. Les ventes de cosmétiques dans les années 1970 ont stagné, les annonceurs ont donc dû changer de cap pour en tirer le meilleur parti.Pour de nombreuses femmes, le maquillage était ancré dans leur psyché depuis leur naissance. Cela a amené les consommateurs à vouloir des produits plus naturels, croyant que la beauté est de l’intérieur et non peints.
Par conséquent, l’industrie de la beauté était heureuse de fournir des produits décrits comme naturels, à peine là ou invisibles. C’était un pas intelligent, permettant à une femme de continuer à porter du maquillage et à acheter les produits.
Il y avait aussi un intérêt pour l’amélioration de soi et le bien-être. Plus de femmes ont pris note des ingrédients dans les produits et comment améliorer leur santé. Les marques de cosmétiques ont répondu en mettant l’accent sur les ingrédients dits naturels dans leurs produits.De même, les années 1940 ont également été regardées avec tendresse. Néanmoins, la prise de maquillage des années 1970 des années 1940 était plus un clin d’œil aux principales tendances de cette époque, plutôt qu’une copie directe.
C’était aussi un moyen pour les annonceurs de sauter à bord du train de la nostalgie, pour finalement vendre des produits.
1980
Les années 80 savent que la période a été un moment très intéressant dans l’histoire. La beauté a eu des hauts et des bas au cours de la décennie.Le maquillage brillant et dur qui vous fera sortir de la zone de confort. Fondamentalement, c’est l’essence du maquillage de la décennie. Et il s’agit de pouvoir se démarquer de la foule. Imaginez Whitney Houston, Madonna dans ses premières années, Cyndi Lauper et plus encore.Être une fille cool signifiait avoir un fard à paupières vibrant. Retour dans la cette décennie, si vous vouliez être cool, vous avez dû avoir une couleur inhabituelle pour votre maquillage des yeux, tel bleu, rose, et violet - maquillage coloré.
Le style de maquillage triomphant avec fard à paupières, mascara et blush comme éléments principaux, est le reflet d’une époque inoubliable marquée par une génération d’amateurs de spandex, d’aérobic, de hip-hop et de coiffures volumineuses. Appliquer du fard à paupières de couleur foncée, délimiter l’œil à l’intérieur et à l’extérieur, obtenir un regard plus lourd et plus profond avec du maquillage et créer des traits plus marqués comme des pommettes avec du fard à joues et des doublures de lèvres est devenu un symbole de rébellion de ces années.
Le style de maquillage triomphant avec fard à paupières, mascara et blush comme éléments principaux, est le reflet d’une époque inoubliable marquée par une génération d’amateurs de spandex, d’aérobic, de hip-hop et de coiffures volumineuses. Appliquer du fard à paupières de couleur foncée, délimiter l’œil à l’intérieur et à l’extérieur, obtenir un regard plus lourd et plus profond avec du maquillage et créer des traits plus marqués comme des pommettes avec du fard à joues et des doublures de lèvres est devenu un symbole de rébellion de ces années.
Ils ont utilisé un fond de teint deux nuances que la couleur de peau naturelle et de finition avec une poudre traslucent.La zone de l’œil a été le centre du maquillage dans les années 1980 et tous les efforts ont été concentrés sur attirer l’attention sur la beauté de l’œil. Du mascara a été appliqué sur les cils supérieurs et inférieurs pour ouvrir l’œil ou ajouter des faux cils pour donner à l’œil et au visage un toucher félin et sauvage.
La zone des yeux a souvent été soulignée en utilisant des fards à paupières bleu vif ainsi que des fards foncés pour ajouter de la profondeur et du mystère.Les sourcils étaient plus pleins, plus larges et plus salissants. Ils avaient un look plus masculin.
Les lèvres n’étaient pas les protagnonistes des années 1980. Juste un rouge à lèvres mat aux tons marron et foncés, dessiné au cœur des lèvres pour leur donner une forme plus pointue.
Enfin, les femmes ajoutaient un fard rose foncé aux pommettes afin de créer une touche dramatique. Ainsi que l’utilisation d’une poudre bronzante pour le contour du visage et de marquer les angles du visage.
1990
Tandis que les regards naturels et grunge étaient populaires pendant le début au milieu des années 1990 les styles sont devenus plus brillants et plus brillants à la fin de la décennie approchait. Les palettes de couleur allaient des bourgogne et les bruns pour les yeux et les lèvres à l’ombre bleu pastel jumelé avec les lèvres givrées.
Alors que les styles naturels et grunge étaient populaires du début au milieu des années 1990, ils sont devenus plus brillants à l’approche de la fin de la décennie. Les palettes de couleurs allaient de bordeaux et brun pour les yeux et les lèvres à la teinte bleu pastel jumelé avec des lèvres givrées.
Pour les yeux : le bleu givré était l’une des couleurs de fards à paupières les plus populaires, la couleur s’étendant généralement aux sourcils. Les variations de ce look incluaient d’autres pastels lumineux, comme le rose, le violet et le vert. Un œil fumé avec un eye-liner teint épais était l’alternative grunge ou tons bruns avec un eyeliner assorti pour un look plus naturel.
Pour les lèvres : le bourgogne ou le brun brique était la teinte la plus utilisée. Pour un look plus audacieux, les femmes utilisaient un rouge vif, et pour un maquillage naturel, un nude mat. La lèvre des années 1990 est complète sans un crayon épais. parfois dans un ton plus foncé ou contrastant. Les couleurs des lèvres ont commencé mat puis ont cédé la place aux lèvres givrées plus tard dans la décennie.
Pour le visage : la base naturelle a été la clé de nombreux styles des années 1990 pour aider vos yeux et vos lèvres à se démarquer. Fond de teint mat était la base standard pour la plupart des regards. avec une généreuse quantité de puissance translucide pour vraiment clouer le fini mat. Le fard à joues n’était pas au centre de la plupart des styles et avait tendance à être plus une légère pincée de tons roses ou chauds sur la joue de la pomme. Les paillettes corporelles étaient également populaires, surtout chez les adolescents et les jeunes adultes.
Le XXI siècle- les années 2000
Simillar à 1990, les tendances de maquillage des années 2000 étaient très distinctives : fard à joues rose foncé, arches ultra-fines, paillettes corporelles et crayon à lèvres très contrasté.
Une icône de cette époque est Britney Spears, elle est l’une des tendances de l’époque. Le fard habituel était un fard à paupières violet épais associé à des sourcils maigres et du fard à joues rose. Le fard à joues a été ajouté en grandes quantités.
En outre, l’eyeliner aux couleurs vives était plus. Ceci a été appliqué sur le fard à paupières afin de créer une combinaison de couleurs différente et unique, pas pour avoir l’ancien eye-liner chat.
Un autre regard pour les yeux de cette époque est l’oeil pailleté. Pas une ombre, mais seulement des paillettes, de n’importe quelle couleur. Pour les lèvres, les femmes utilisaient brillant, gloss. Aussi, une tendance suivie par tout le monde était le crayon-mince arches sourcils.
https://www.cosmopolitan.com/style-beauty/beauty/g5770/early-2000s-makeup-trends/
2010
Les années 2010 ont été une période de nombreuses transformations, en particulier dans le domaine de la technologie avec le boom des médias sociaux. Les tendances en matière de beauté ne se limitaient plus aux couloirs des écoles, aux pistes ou aux longs métrages – elles pouvaient être affichées et partagées par n’importe qui à l’échelle mondiale, et diffusées sur des plateformes comme Instagram, Tumblr et Pinterest. Certaines de ces tendances ont survécu au-delà des années 2010 et sont devenues des produits de base de l’industrie de la beauté au cours de notre nouvelle décennie.
Au début des années 2010, Une des tendances étaient les yeux pleins de fumée. Le look "emo" a été très suivi dans cette décennie, que ce soit pour les fêtes, les clips vidéo ou dans la recherche quotidienne pour certaines personnes. Bien plus tard dans la décennie, les yeux étaient ornés de toutes les couleurs, soulignant la ligne d’eau de l’œil dans le noir. Et parfois un eyeliner pointu et mince, considéré comme le nouveau regard "œil de chat". Ce maquillage utilisé pour rendre l’œil plus petit, que de les mettre en lumière.
à partir de 2015, une nouvelle tendance du maquillage appercu avec la popularisation de Kylie Jenner. Un visage complet pour tous les jours, avec beaucoup de fond de teint, contour dur sur les pommettes et les angles: avec maquillage complet sur les yeux Pour les yeux, il a été utilisé un fard à paupières blanc ou rosé et un eyeliner pointu et long. Il a commencé le port de longs faux cils. Les sourcils étaient pleins, très conturés et avec un aspect de masculinité. Les lèvres étaient recouvertes d’un crayon et d’un rouge à lèvres mat.
https://www.lofficielusa.com/beauty/2010s-beauty-trends-makeup-hair
2020
À l’heure actuelle, de nombreuses tendances apparaissent, généralement des tendances du siècle dernier étant interprétées. Le soin de la peau est maintenant considéré comme un aspect important et c’est un must avant toute application de maquillage. La plupart de l’aspect de ce début de décennie est l’aspect naturel, différent de ceux des années 2010. Sourcils naturels, un peu de fard à paupières et de mascara, le blush est un must pour ce look. En outre, en été ou lors d’un événement spécial eyeliner coloré ou graphique est fait.
Une tendance qui remonte aux années 2000 est la superposition foncée des lèvres.
Au fil du temps, de plus en plus de tendances de maquillage apparaissent.
https://www.cosmopolitan.com/style-beauty/beauty/g29892877/makeup-trends-2020/
